On n’est pas bien là, décontractés : Une certaine définition de la musique
Alors voilà,
où il sera question
ce soir
de l’esthétisation
du temps,
c’est une des
propositions, un soir
d’un animateur de France Musique
pour tenter
de définir
l’objet de
notre proposition ce soir,
je veux parler
de la musique…
Quelqu’un d’autre,
sur France Musique, encore,
avait proposé, lui,
carrément ceci :
ce serait,
de toutes les disciplines
artistiques,
celle la plus proche
du langage divin,
s’il existe,
Ek, Cétéra…
Tout ça
pour ceci!
Alors voilà :
ce dernier Mardi soir,
nous les avons reçus
au Studio de
Radillo Diois,
adapté en
deux coups de cuillers zà
pots en nun
lieu propice à
une session,
comme on dit.
Ces zoiseaux-là
comme l’avait souligné,
aux Francofollies de La Rochelle,
Serge Gainsbourg,
ces zoiseaux-là, donc,
plus ils sont grands,
plus ils sont gentils,
gentils,
dans le sens noble
du terme.
Après cette
première émission ,
cette session musicale,
je vais vous les présenter,
cet tautomne
avec un portrait
de chacun d’eux.
A suivre, donc, svp.
Elle s’appelle Chacha,
chant et guitare,
adaptations et compositions.
Il s’appelle Julien,
batteur, mais zaussi,
contrebassiste,
guitariste, entr’autres.
Il met un point
d’honneur,
à servir, à porter
le chanteur,
ici Chacha,
en l’occurrence.
Et puis, zil y a Mathis,
guitariste lead,
comme on dit.
Tel un catalyseur
dans cette subtile alchimie,
il sublime,
de ses riffs
arpégés,
il bassise,
bref, Ek Cétéra…
Et puis,
z’il y a
Ovidiu,
le magicien.
Il nous zenchante
avec son accordéon à touches.
Julien le batteur
lui parle de
Galliano à propos
d’une phrase musicale,
Ovidiu lui répond :
lui, c’est lui,
mais moi,
c’est moi !
Ce soir, ils
se présentent
tà vous
dans l’intimité
musicale partagée
d’un Warm-Up,
puis d’un
morceau avec du public,
en feed back.
Et puis,
dans des sessions pures,
au service
de l’absolue
perfection,
si elle existe.
Ce qui est sûr,
c’est que
notre train
va partir.
Embarquement
immédiat.
Attention à la
fermeture
des portes.
